Ce samedi 14 septembre se tenait l’inauguration de la Cité des Associations, futur lieu de vie de la COJ. 

La Cité des associations c’est 17 associations réunies au sein d’un même lieu. En faisant le choix de devenir locataire de la Cité des Associations, la COJ fait le choix institutionnel de soutenir un véritable projet associatif : Une ASBL au service des ASBL par les ASBL. A l’occasion de son inauguration, la Secrétaire Générale de la COJ, Geneviève Nicaise, dressait le « portrait chinois » de la Cité. Le petit jeu qui à travers de quelques mots permet de décrire une personnalité, un lieu, un objet en quelque traits caractéristiques en utilisant des comparaisons.

Ainsi :

1) Pour commencer, si la cité était un étendard, elle serait celui de la « solidarité » parce que par son action auprès de ses associations membres elle apporte sa contribution à la construction d’un monde plus juste et solidaire. Au-delà d’activités de services, la cité permet la facilitation de la réalisation de nombreuses activités auprès de publics et secteurs variés. Elle peut affirmer qu’elle a un réel impact social.

2) Si la cité était un plat, elle serait une « auberge espagnole » parce qu’elle se veut avant tout un lieu collectif de rencontres et de synergie où on trouve tout ce que chacun y aura apporté. Un lieu non seulement pour les associations mais aussi et surtout développé par et avec l’ensemble des membres. Elle est ainsi un incubateur de projets et de transversalités.

3) Si la cité était un pouvoir magique, elle serait une « lampe d’Aladin » ayant la capacité d’exaucer les trois vœux les plus chers de beaucoup d’asbl pour se libérer de leurs contraintes les plus lourdes :

• Se libérer de la charge juridico-administrative pour pouvoir se consacrer pleinement à leurs missions et ne plus craindre CSA, UBO, RGPD, PCMN et autres acronymes.
• S’y retrouver dans les dédalles des appels à projets et se donner plus d’opportunités pour obtenir des financements
• Bénéficier d’infrastructures de qualités et accessibles pour la réalisation de leurs actions et loger leurs équipes de travailleurs et volontaires

4) Si la cité était une ville, elle serait un « petit village » ou une « place de quartier » où on peut juste se retrouver pour faire des choses du quotidien parce qu’elle défend aussi tout simplement d’être un lieu de convivialité et de lien social.

5) Si la cité était un livre, elle serait un « roman d’aventures » plein de rebondissements et surprises parce qu’elle a relevé un challenge assez fou de se lancer dans l’acquisition de ce bâtiment. Un parcours ponctué de défis qui ont pu être surmontés avec succès malgré l’ampleur et la complexité d’une telle réalisation.

Plus d’infos : https://www.citedesassociations.be/