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Groupe IFAC : Journée Sans Frontières

  23 Jan , 2015    Géraldine Lenseclaes

L'Ecole Fondamentale Martin V organise une Journée interculturelle - "Journée Sans Frontières" - avec les élèves, professeurs, animateurs et parents de l'école, sur le thème... «La vie est belle».

Logo-COJ40-high19 ateliers interactifs et vivants seront proposés : atelier peinture, nature, cuisine, scientifique, méditation, recyclage…. Les enfants sont invités à expérimenter les découvertes plutôt que de les leur expliquer de manière théorique : les animateurs des différents ateliers font vivre, réaliser, toucher, goûter, danser, chanter, parler les enfants de l’école.

3 questions à Martine Durant, Secrétaire générale au Groupe IFAC

« Journée sans Frontières », en quoi consiste cette journée ?

Cette journée est basée sur l’échange de savoirs interactifs, abordés sous un thème résolument positif  : chaque journée est un présent. Profitez donc de chaque instant car  « La Vie est belle », chacun est l’acteur principal de sa propre vie, elle est ce que vous en ferez. Les ateliers proposés sont diversifiés : la vie est belle en chaise roulante; le conte du « Petit Prince »: création d’une planète; la théologie du ventre : manger local; rendre attrayant la boîte à tartine; peindre ses émotions; sophrologie (gestion du stress);  la nature belle à regarder et à recycler…

Votre activité est estampillée « 40ème COJ», pourquoi ?

Ce rassemblement de personnes d’horizons différents (55 nationalités y sont représentées) fait de l’école un lieu ouvert au monde. L’informel  (la culture) se mêle au formel (l’enseignement). Cette journée est le symbole de notre quotidien, l’éducation à la citoyenneté et au différent. Le Ba.-ba du « savoir vivre ensemble » et de la responsabilisation en contraste à la xénophobie et à tous les excès.

Pourquoi avoir appelé cette Journée d’ateliers «sans Frontières » ?

Un leitmotiv « Ne pas rester sur son quant-à-soi  » car il s’agit de vivre cette journée sans à priori, sans préjugés, pour en ressortir avec plus de connaissances des autres, plus de partages, et donc d’interactions positives, autant de jalons contre la discrimination.