La COJ est co-signataire de la carte blanche : La culture, rempart contre les régimes autoritaires.
Depuis quelque temps, une tendance inquiétante se dessine dans le discours de certaines personnalités politiques : la remise en question du caractère politique de la culture.
La culture est un outil de transformation sociale et de critique du pouvoir. En co-signant cette carte blanche, la COJ affirme son engagement pour une action socioculturelle capable de bousculer les idées et de défendre ses valeurs d’égalité et de solidarité.
La culture est politique. Elle ne doit pas être dépolitisée mais rester un espace de critique et de changement. Résistons ensemble !
En campagne ? Pas sans nous !, mémorandum, secteur jeunesse
Durant toute la campagne électorale qui précédait les élections du 09 juin 2024, la COJ menait son projet « En campagne ? Pas sans nous ! ». 23 candidats aux élections, issus des six principaux partis (MR, Les Engagés, PS, Ecolo, PTB, Défi) immergés au sein d’une activité d’une des Organisations de Jeunesse de la COJ.
En vue des élections de ce 9 juin 2024, la COJ lançait en mars son projet En campagne ? Pas sans nous ! : l’invitation de 23 candidats aux élections à vivre une expérience au sein du Secteur Jeunesse afin de mieux comprendre en quoi nos Organisations de Jeunesse (OJ) ont un rôle essentiel. Ce projet s’est tenu en deux phases, d’abord une série d’immersions au sein des activités des Organisations de Jeunesse de la COJ, puis, un grand débat politique.
En campagne ? Pas sans nous !, politique
En vue des élections de juin 2024 et dans le cadre de son projet « En Campagne ? Pas Sans Nous ! », la COJ et ses OJ ont invité 24 candidats aux élections de 2024, à participer à une activité Jeunesse. Un projet immersif et participatif permettant d’identifier sur le terrain les grands enjeux du Secteur Jeunesse.
La ministre Linard passe à la vitesse supérieure avec sa réforme du décret ATL.
Depuis plus de deux ans, les différents acteurs composant l’Accueil Temps Libre (ATL), à l’initiative de la Ministre de l’Enfance, ont entamé une réflexion en vue d’une réforme profonde de leur secteur.
Il s’agissait de créer une réforme que le secteur voulait ambitieuse, qui devait avoir un regard global sur l’enfant et les différents lieux qu’il fréquente, de construire un décret unique tout en préservant les spécificités des différents temps qui émaillent la vie d’un enfant. Manifestement, nous n’y sommes pas.
La COJ et certaines de ses associations se mobilisent. Voici leur carte blanche.